Impact environnemental du numérique : Guillaume Chevrollier salue l’adoption de son texte

"A l’heure où la COP 26 se tient à Glasgow et où toutes les politiques publiques doivent se donner les moyens d’atteindre les objectifs climatiques fixés par l’accord de Paris, le Sénat a voté un texte ce mardi 2 novembre pour réduire l’empreinte environnemental du numérique" se réjouit Guillaume Chevrollier : le parlementaire "Les Républicains" mayennais, rapporteur, évoque "la première initiative législative complète sur ce sujet en appréhendant toute la chaîne de valeur numérique, qui placera la France dans une position de précurseur sur la scène européenne".

Sanctionner l'obsolescence programmée

Le texte, désormais définitivement adopté, est l’aboutissement de plus de deux ans de travaux : "Il vise à orienter le comportement de tous les acteurs du numérique, autour de trois priorités : faire prendre conscience aux utilisateurs de l’impact environnemental via notamment l’éducation dès le plus jeune âge à la sobriété numérique, limiter le renouvellement des terminaux dont la fabrication représente 70% de l’empreinte carbone du numérique en France notamment en sanctionnant l’obsolescence logicielle et promouvoir des usages numériques écologiquement vertueux".