Agnès Buzyn à Blois
Agnès Buzyn était ce mardi 11 septembre à Blois
Crédit : Denis Deshayes
11 septembre 2018 à 23h10 par Denis Deshayes
En visite à Blois ce mardi 11 septembre, Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé a confirmé que le "plan santé" serait bien divulgué d'ici quelques jours.
Après Amboise le matin, Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, était à Blois ce mardi 11 septembre pour dévoiler la plaque du nouveau nom de l'hôpital blésois désormais officiellement baptisé "Centre hospitalier Simone-Veil". Simone Veil, notamment ex ministre de la Santé, était venue à Blois lors de l’inauguration de l'établissement il y a quarante ans.
A l’occasion de sa visite, Agnès Buzyn a confirmé que le plan de réforme du système de santé serait dévoilé la semaine prochaine : "Le but sera de répondre aux nouveaux risques, aux nouvelles pathologies, aux transformations du système de santé dans une société qui vieillit et où les maladies chroniques sont beaucoup plus nombreuses" a-t-elle expliqué.
Cette présence ministérielle a aussi été l'occasion, pour le directeur de l’hôpital de Blois et les élus, de présenter le projet du futur hôpital de Blois qui devrait sortir de terre à l'horizon 2025/2030. Lors de sa visite, la ministre a été accueillie par une centaine de manifestants de la CGT qui dénonçait notamment le manque de moyens humains et financiers dans les établissements de santé en Loir-et-Cher.
A l’occasion de sa visite, Agnès Buzyn a confirmé que le plan de réforme du système de santé serait dévoilé la semaine prochaine : "Le but sera de répondre aux nouveaux risques, aux nouvelles pathologies, aux transformations du système de santé dans une société qui vieillit et où les maladies chroniques sont beaucoup plus nombreuses" a-t-elle expliqué.
Cette présence ministérielle a aussi été l'occasion, pour le directeur de l’hôpital de Blois et les élus, de présenter le projet du futur hôpital de Blois qui devrait sortir de terre à l'horizon 2025/2030. Lors de sa visite, la ministre a été accueillie par une centaine de manifestants de la CGT qui dénonçait notamment le manque de moyens humains et financiers dans les établissements de santé en Loir-et-Cher.