Alençon : le Signal d'Ecouves manque de bénévoles

L’épreuve est réservée aux meilleurs juniors de France et voit en général briller les cadors de demain. "Celui qui gagne le Signal d’Ecouves, on le retrouve un ou deux ans plus tard dans le peloton professionnel" lance Benoit Leroyer, co-président de l’Union cycliste d’Alençon-Damigny, qui organise la course. Pierre Roland, Alexis Gougeard ou encore Arnaud Démare ont levé les bras par le passé sur la ligne d’arrivée dans la capitale ornaise. Depuis sa naissance en 1989, l’évènement s’est fait une place dans le paysage national. "Cette année encore les clubs viennent de partout en France pour participer. La forêt d’Ecouves présente de belles difficultés, et c’est ce qui fait le charme de l’épreuve" souligne Benoit Leroyer.

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Manque de bénévoles

En attendant de savoir qui s’imposera le dimanche 25 juillet parmi les 150 coureurs engagés, l’heure est à l’organisation pour l’Union cycliste Alençon-Damigny. Mais il manque encore une vingtaine de bénévoles pour tenir les carrefours le long du parcours. "Ça peut être soit en signaleur fixe sur le circuit final ou alors en signaleur volant, ce qui permet de voyager sur différents points de la course" explique Benoit Leroyer. Les volontaires ont jusqu’au 30 juin pour se signaler directement auprès du club alençonnais. Au total, ce sont 150 bénévoles qui œuvrent le jour de la course afin notamment de veiller à la sécurité du peloton.

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